fbpx

Contactez-moi pour votre consultation gratuite!

Suivez-moi sur les réseaux sociaux!

Photographe de l’année au Québec en 2016!

Stéphane Larivière
0 comments
Blogue

Être nommé photographe de l’année au Québec

stephane-lariviere-photographe-trophée-photographe-année-2016-okIl aura fallu plusieurs tentatives pendant plusieurs années pour réussir à atteindre un de mes buts de carrière, mais encore une fois la persévérance porte fruits.  En novembre 1995, presqu’à mes débuts comme photographe professionnel et nouvellement membre de la Corporation des Maîtres Photographes du Québec (nom que l’association portait à cette époque), j’avais comme objectif de réussir à obtenir ce titre.  À ma première tentative en compétition photo en 1997, je croyais être en mesure de classer plusieurs de mes images dans les photographies finalistes aux trophées… désenchantement!  Sur quatre photos seulement trois de celles-ci parviennent à être acceptées dans l’exposition, ce qui déjà ne me permettait pas de me classer ni pour les trophées et surtout pas pour le titre de  photographe de l’année.

Faire ses classes

Qu’à cela ne tienne, il n’était pas question d’abandonner!  L’année suivante, en 1998 je me prépare d’avance et à l’envoi de ma valise photo (parce qu’en ce temps là nous imprimions des images en 16X20 pour participer au jugement photo) je suis plus que confiant d’avoir la collection pour aspirer aux grands honneurs… la deuxième chute!  Seulement deux images sur cinq sont acceptées, amère déception.

Les années suivantes sont un peu plus douces je commence à mieux me classer.  J’obtiens encore des mentions, mais à l’occasion des rubans mérite sont attribués à mes images.  Ce ne sont pas les résultats rapides auxquels je m’attentais, mais je progresse et je commence à accepter qu’atteindre mon but risque d’être plus long que prévu.
stephane-lariviere-photographe-trophée-enfant-2016

Première fois finaliste

Après quelques années à ne pouvoir participer à la compétition puisque j’étais président de l’association entre 2002 et 2004, j’effectuai un retour. Ayant pris un peu plus d’expérience et de maturité en plus d’être devenu papa pour la première fois en 2003, je me sens plus prêt et mes idées commencent à devenir plus créatives.  Mes cinq images sont acceptées dont plusieurs par l’expression de valeur mérite.  Une de mes images est même finaliste au trophée de la catégorie mariage femme.  Malheureusement, un confrère remporte le trophée et aussi le titre de photographe de l’année! Je venais quand même d’être « battu » par le meilleur de cette année là.

Un peu déçu de n’avoir pas remporté le trophée, mais revigoré par mes résultats j’attends avec impatience la compétition l’année suivante.  Le jugement se déroule bien, mais mes résultats ne sont pas à la hauteur de ce que j’espérais.  Il me faudra encore patienter…

Un premier trophée et première fois finaliste au titre de photographe de l’année

trophee-portrait-homme-quebec-2006-DefeatedFinalement, l’année 2006 me porte chance!  En plus d’être papa pour une deuxième fois, j’obtiens (enfin!) mon premier trophée.  Une image créée spécialement pour la compétition.  Un concept que j’avais en tête, que j’avais élaboré et préparé en vue du jugement photo.  C’était l’une des premières fois que je faisais cette exercice, auparavant je présentais surtout du travail régulier que je réalisais pour mes clients.  Je venais de comprendre (oui je peux être tête de cochon parfois) ce qu’on devait faire pour parvenir à mieux se classer et aspirer au titre puisque j’avais également été finaliste au titre de photographe de l’année cette année là.

En 2007, j’ai pris une pose de compétition puisque j’ai dû remplacer à pied levé un confrère comme juge en chef du jugement photo.  Une super belle expérience que j’aurai le plaisir de revivre quelques années plus tard.

Première reconnaissance au Canada

En 2008, je reviens encore à la compétition.  Cette fois, je suis prêt… du moins je crois.  Le jugement se déroule de façon un peu inégale.  Les commentaires sont parfois plus ou moins justifiés selon moi, mais c’est normal de croire cela puisqu’on présente nos meilleures photos à vie dans ces jugements et puis se sont des humains qui évaluent les images.  Donc quelques égarements sont possibles, il ne faut pas trop s’en formaliser et accepter les règles du jeu.  Alors mes images reçoivent pour la plupart de très bonnes notes, certaines sont même nominées pour le trophée de leur catégorie, mais malheureusement une de mes images et rejetée et il me sera impossible d’être finaliste au titre.  Cependant cette année marque un tournant moi.

trophee-photo-enfant-canada-2008La création d’une photographie en particulier qui donnera le ton à une série complète d’images inspirées de la même ambiance.  Un type d’image qui deviendra pour moi une genre de signature.  Cette photographie est « Please not again daddy », image réalisé en complicité avec ma petite fille de quatre ans.  Je n’ai pas reçu le trophée pour cette photo au Québec, mais deux semaines plus tard le trophée de la catégorie portrait d’enfant m’était remis au Canada à la compétition du PPOC.

L’année suivante je suis juge, donc il m’est impossible de participer.  Je prends donc, une pose et je me prépare un peu pour 2010.  Ce fût une année correct avec de bons résultats, mais j’ai encore faim du titre qui ne vient pas.  L’édition 2011, me permet à nouveau d’être nominé au titre de photographe de l’année. Je me dis que cette fois ça devrait la bonne.  Malheureusement aucune de mes images finalistes ne réussie à rafler le trophée.  Ça devra encore attendre…

 

Encore au Canada!

Un peu déçu de mes résultats de l’année précédente, je décide d’accepter un poste de juge au Québec en 2012.  Mais je choisi finalement de participer à la compétition Nationale pour voir si mes photos pourraient interpeller les juges.  Une de mes images fait encore sensation en portrait d’enfant.  Un concept inspiré en partie du mime Français Marcel Marceau parvient à décrocher un autre trophée dans cette catégorie.  photographe-photo-enfant-gagante-canada-Trapped Les choses s’annoncent bien pour la compétition 2013 au Québec!

 

Une fois de plus finaliste au titre au Québec

La compétition est maintenant (depuis 2009) jugée uniquement sur des moniteurs et nous n’avons plus à imprimer de photographies, nous n’avons qu’à téléverser des fichiers numériques.  En 2013, j’ai pu réutilisé en parti la collection d’images que j’avais présentée l’année précédente au Canada et j’avais aussi ajoutée de nouvelles images pour la rendre encore plus forte.  Une fois de plus je me retrouve finaliste au titre et cette fois les trophées fusent de partout, même qu’à remporter l’album de mariage de l’année (catégorie cependant hors concours au titre de photographe de l’année).  Comble de malchance… malgré tous les trophées, un estimé confrère parvient à me devancer et me relègue au deuxième rang.  Un autre rendez-vous manqué.

J’ai besoin d’une pose…

Une image en coupe du monde!

portrait-enfant-de-l-annee-canada-coupe-mondiale-Mother-Nature's-MiseryJe me prépare de nouveau en 2015 me disant que l’exercice de création est le plus important et que le résultat arrivera bien en moment opportun.  Je prépare donc ma série de photos qui ma foi fait  très bonne figure en me permettant encore une fois d’être finaliste au Québec et qui me mérite le trophée en portrait d’enfant au Canada (pas avant d’avoir suscité un vif débat parmi les juges) et qui  à ma grande surprise est sélectionnée pour représenter le Canada à la coupe du monde de photographie!

L’image représente en fait tout le dommage que l’humanité inflige à la nature et l’environnement.  Pour moi représenter Mère Nature comme une enfant déjà en train d’agoniser était un message sombre, mais très fort que je voulais dérangeant.

 

 

Finalement l’atteinte du but!

stephane-lariviere-photographe-trophée-photographe-année-famille-2016Cette année en 2016, presque vingt ans après ma première participation,  j’ai finalement réussi à mettre la main sur ce convoité titre de « Photographe de l’année« .  Toutes mes images ont reçues des expressions de valeur « Excellence » et « Honneur » en plus de rubans de créativité et de collections permanentes sur quelques-unes d’entres elles et toutes étaient finalistes au trophée de leur catégorie.  Au final, trois de mes cinq images ont remporté un trophée et c’est ce qui m’a permis d’être nommé photographe portraitiste de l’année au Québec en 2016.  Maintenant nous verrons bien si je serai également finaliste au Canada puisqu’au moment d’écrire ces lignes les nominés n’étaient pas encore connus… à suivre.

 

 

 

 

Voici les images de ma collection 2016

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Leave a Reply

Your email address will not be published.

You may use these HTML tags and attributes: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>

Qui est Stéphane Larivière?

Photographe professionnel et devenu propriétaire du Studio Tremblay en 1995, entreprise qui était située à Rigaud depuis 1948 et maintenant déménagée à Les Coteaux, Stéphane Larivière oeuvre dans le domaine de la photographie depuis plus de 30 ans.

Plus particulièrement spécialisé dans la photographie de portrait comme les photos de bébés, les photos d'enfants, les photos de familles et les photos de mariage, il peut également offrir ses services en photographie corporative pour du portrait d'affaire et des événements et aussi créer pour vous des concepts audio-visuels uniques ou encore des montages photographiques personnalisés pour toutes sortes d'occasions.

Informations: formulaire en ligne ou par téléphone au: (450) 451-5393

Recevez nos conseils gratuits pour de meilleures photos de familles!

css.php